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Ardeurs guerrières
C’est au crépuscule que les cœurs s’éveillent
Au sourd appel de la guerre
Un besoin archaïque d’accoupler les fers
De mêler la sécrétion des armes
Les rires et les pleurs
Partagent ce charnel banquet
Et le vin abonde d’une griffure au visage
D’un poignard caressant l’ardeur
On cherche quelle posture prendre
Pour mieux dominer
Ou se soumettre
Assujettir les flammes révoltées
Qui s’extirpent par tous les orifices
Comme d’une forteresse
Que les pillards assiègent
...
...
traducción en trabajo !
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