
Vivre encore
La chambre carillonne
L’heure
tombe de sa chute impeccable
cuivre blessé
Je gis dans un sang blanc
de silence et d’aurores malades
Mes mains cherchent la fuite
Mes yeux, ma bouche a se hisser
au-dehors
Vivre
vivre encore
Même nu avec soi
avec le son de sa voix
rauque fatiguée
qui ne trouve plus les mots
plus le pain a partagé avec le pauvre
Vivir aún
...